Видео

Angst et Henry, portrait d'un Serial Killer deux excellents films sur le sujet.

J ai aussi vu LLB et Challengers : je les avais beaucoup apprécié sans analyser leurs points communs mais je rejoinds complètement votre critique excellente, merci pour les reflexions riches qui font echo. Sur le jeu de KS je n ai pas été gênée sans doute car je suis partie de la proposition / hypothèse que son personnage est en retrait, quelque chose de fermé, de l'ordre du malaise interieur. Votre critique me donne envie de revoir ces 2 films que j ai bcp aimé, merci + abonnée 👍

Dire que les films considérés comme "grands" le sont pour des raisons soumises a des variations socio-historiques puis de dire que Chaplin serait toujours Chaplin sans les textes de Bazin est une contradiction. Soit les grands films sont des grands films et donc il n'y a pas de soumission a des contextes socio-historoques soit Bazin a aussi contribué a faire de Chaplin ce qu'il est.

Elle est nul votre serie....

Salut dex j'espère que ça va, je me doute que tu dois avoir énormément de travail, j'ai une réclamation j'ai vu sur ton sens critique que tu avais mis 10/10 à BIRTH de Jonathan Glazer si un jour tu pourrais parler de ce film sa serai vraiment bien, avoir ton retour. bonne contination.

Un Dexplorer sur Emilia Perez ? (autant une question que l’expression de mon espoir)

Tu as passé plus de temps à analyser le film que lui à l'écrire tu sais. C'est un type très prétentieux, fainéant et méprisant, qui en plus touche beaucoup de subsides, c'est à dire qu'il connait les gens qu'il faut connaitre dans le milieu, puis vient avec une posture de je critique le milieu du cinéma. Laisse des gens un peu plus bosseur et qui ont vraiment envie de raconter des choses prendre cet argent. Le gars ne sait pas aller au bout d'une idée, à quoi bon car c'est une génie de toute façon. Non vraiment sous ses airs un peu punk délirant, qui ne respecte pas les règles et qui a des pitchs originaux, (ça il faut le reconnaitre) se cache vraiment un mec cynique, opportuniste narcissique et méprisant. Bon après les gens vont voir ces films et continuent à lui dire vas y pisse nous dessus alors à quoi bon arrêter.

De ce réalisateur, je n'ai vu que le premier film The House of the Devil, sorti en 2010. Très belle réalisation à l'ancienne, dans le style des films d'horreurs un peu fauchés des années 70, façon Halloween et Massacre à la Tronçonneuse, mais scénario inintéressant au possible. Ça ne m'a pas donné envie de creuser sa filmo. Désolé, mais tout ce que j'ai pu entendre sur ses films suivants, de toi ou d'autres critiques, me conforte dans l'idée que c'est juste un pasticheur talentueux, mais pas un cinéaste intéressant.

Merci pour cette vidéo

Ça faisait longtemps que tu n’avais pas abordé un film sur lequel tu avais un avis vraiment opposé au mien, j’ai personnellement adoré le film et même quand tu as un avis différent, j’arrive toujours à piocher dans ton analyse pour venir compléter la mienne. Tes vidéos m’aident toujours beaucoup à améliorer ma compréhension et mon analyse des films que je regarde, merci beaucoup 🙏🏻

tu tombes à nouveau à point, je suis allée le voir cet aprèm, si je n'ai pas du tout décelé le même sous texte que toi je partage ton avis général, ce film aurait pu être un grand film s'il était allé au bout de ses idées (même en gardant une recette simple), j'ai tout de même passé un bon moment devant (la première partie est géniale) mais je pense que le fait que plusieurs amis l'ayant vu avant moi m'aient dit qu'il était moins bien que ce que laissait penser son marketing a aidé à baisser mes attentes

En film récent qui a choque son public c'est Terrifier 2 😊 Et justement pas par sa peur mais son dégoût (que j aime beaucoup perso....)

C'est toujours un grand plaisir à écouté tes podcasts avec cet approche intellectuelle qui n'a rien à envier à des podcasts comme la gêne occasionné franchement bravo 👏

ca tombe bien je suis allée le voir hier, j'ai beaucoup aimé ! en tant de femme le traitement était très rafraichissant (alors que je ne suis même pas queer donc j'imagine pour celles qui le sont), je n'avais pas du tout aimé Saint Maud donc j'appréhendais un peu mais je pense que c'est une de mes sorties préférées de l'année pour l'instant, sinon, la rediff du live des Demoiselles d'horreur sur Love lies bleeding est dispo et complète vachement bien ton propos (je viens de me faire les 2 à la suite, un plaisir)

c'est pas la première fois qu'un dexplorer sort pile le jour même (et quelques heures après) où je suis allée voir le film duquel il traite, quel plaisir ! je suis franchement d'accord pour l'aspect lynchien du film, c'est une des premières remarques que je me suis faite pendant ma séance et personellement j'adore, étant fan de lynch je ne peux pas être plus ravie, et le découpage à la pulp fiction est évident je pense

CORRECTION : pour une raison qui m’échappe, j’ai réussi pendant tout l’épisode à appeler l’actrice principale Katy O Brian… par le nom d’une autre actrice du film : Anna Baryshnikov. La confusion est présente tout du long, donc vraiment navré, je ne m’explique pas cette erreur. Je parle bien de KATY O BRIAN, c’est Katy O Brian qui est formidable, c’est Katy O Brian dont nous sommes fans (même si Anna Baryshnikov est formidable également).

Boss

Minute un tu m'as convaincu de mettre un Like et d'aller voir le film (Mais cuistre un peu quand même 🤔)

La musique de fond est à côté c'est dommage

Y a longtemps que je l'ai vu et tu m'as donné envie de le revoir 😊👍

REVOLUTION ! Abattons les tyrans qui souillent notre belle république !!!

Merci pour cette analyse fouillée ! je l’envoie a mes amis afin de les motiver a voir cette série, car ton analyse sert à la fois d’avertissement, mais aussi de porte d’entrée a l’univers Nicolas Winding Refn, permettant de comprendre pourquoi ce qui pourrait être vu comme des défauts sont en fait les grandes qualités de ce chef-d’œuvre. (j’ai vu tu as vidéo après avoir vu la série, mais ça ma donné envie de la revoir… mais bon pas tout de suite quand même 🤣)

Faudra vraiment qu'on m'explique où est l'humour de ce "film" ? Je suis resté 50 minutes et encore avec beaucoup de force de volonté, je n'ai pas desserré les mâchoires une seule fois. Où aurais-je dû rire ? Aller simple pour le Néant pour moi : pas d'émotion, pas d'histoire, pas de rire. Juste un réalisateur prétentieux et autosatisfait qui se regarde virevolter autour du vide et qui se trouve génialissime avec son non sens, sa déconstruction du 4ème mur et ses allers retours film/non film . Pour moi Dupieux est un pilier de Pmu façon "On peut pu rien dire t'fasson" dans une bulle de snobisme conceptuel .

La meilleure vidéo sur le film avec celles de La Septieme Illusion et de Ju de Melon. Merci beaucoup Dex.

Théorie intéressante qui tend à prouver que Dupieux développe en vieillissant une posture nihiliste proprement bourgeoise entre le punk, le troll internet et le vieux con réactionnaire. Pour moi Dupieux est également un surréaliste autant qu'il est post-moderne.

Bien vu !

Excellente critique. Ce n'est pas que le monde du cinéma qui est incriminé c'est la vie et son manque d'humanité. Où est Stephane sur l'affiche ?.......( Avis perso)

Merci pour ton analyse intéressante.

Par contre j'arrive pas à trouver les vidéos où tu apparais dans le Cercle sur Canal+.

Je ne sais pas si ce propos était volontaire de la part de Dupieux, mais en tout cas, il colle parfaitement avec tout ce qui se déroule dans le long-métrage et avec sa propre vision du cinéma qu'il a déjà eu l'occasion d'exprimer dans diverses interviews. Je vois aussi toute la première heure comme ce que donnerait un film méta à la Dupieux, généré par IA. Impression renforcé par la différence de jeu des comédiens après le twist des 20 dernières minutes, et acterait encore plus l'insignifiance du projet.

J'ai vu ce film l'année dernière et comme toi, la chose qui me marque vraiment de ce film est le fait que j'ai beaucoup pleuré à la fin. Je ne suis pas encore arrivée jusqu'à la fin de la vidéo mais pour moi, la beauté du film vient aussi du fait qu'elle raconte 2 histoires qui ne sont pas si anodines que ça car cela se rapproche du vécu de pas mal d'enfants qui ont été victime de violences sexuelles lorsqu'ils étaient enfants. Tu dis que le film n'apporte pas de réponse et c'est un peu ce qui arrive lorsque t'as été victimes de telles violences et que tu te demandes sans cesse "pourquoi cela est arrivé": il n'y a évidemment pas de réponse ou du moins il n'y a aucune réponse qui permettra d'expliquer une quelconque justification d'un tel acte. Pour ce qui est de la dernière scène du film, c'est sûrement celle qui m'a le plus touché car Neil et Bryan m'ont paru comme une seule personne qui se divise intérieurement en deux car l'une des deux parties doit elle-même se consoler sur tout ce qu'elle réalise à propos de ce dont elle a été victime. On y rajoute une bande son très shoegazy, style de musique que j'aime énormément et qui a des mélodies qui évoquent certains sentiments forts et hop on obtient un des films qui m'a également le plus touché. Bref j'arrête ici car mon ordi bug mdr mais j'ai bcp apprécia ta vidéo :)

J'ai vu ton passage sur BFMTV et le "Moi personnellement" que tu à sortie ne m'a pas plus du tout 😡 juste un "moi" suffit il n'y a pas besoin d'utiliser le terme "personnellement". La langue française ça marche pas comme ça. Sauf si ont veut ce faire passer pour un égocentrique.

Super analyse, excellent. Je suis tombé sur cette vidéo en cherchant justement à revoir cette scène de fin qui m'avait fichu les chocottes comme jamais. Comme quoi, inutile de tomber dans le gore ou le grand-guignol pour distiller efficacement la peur. Dans la série "le video club / Kombini" visible sur youtube, avec Oliver Stone comme invité, celui-ci reconnaît avoir cauchemardé pendant des nuits à cause de ce film.

Le malheur des uns... Et les vases communiquants aussi peut-être pour la " rédemption" du personnage de Morgan Freeman ?!

Ce que je n'aime pas dans ce film c'est la fin : le film commence comme un grand film mais finit en série B. Le début est tout à fait réaliste avec la vie new-yorkaise qui à force de se dégrader comme elle fait revient à l'époque Western ou Guerre de Sécession mais la fin qui se passe à Washington ne se peut tout simplement pas : la Maison-Blanche a été entourée d'une forteresse, or la Maison-Blanche n'est depuis très longtemps que la pointe d'un vaste iceberg de fortifications souterraines tentaculaires et d'abris anti-nucléaires d'un perfection digne de la haute science-fiction. Le combat final aurait dû se passer dans le labyrinthe de ces souterrains. La Maison Blanche telle qu'on la voit est surtout pour les touristes de marque et guère plus. Les décisions ne se prennent pas là. Dans le cas d'une guerre civile et d'un danger que la capitale soit perdue par le gouvernement il y a belle lurette que l'administration présidentielle qui dispose de beaucoup d'autres résidences fortifiées et d'un avion militaire capable de servir de base de commandement mobile permanent, l'Airforce One, ne l'habiterait plus et que les deux chambres du Capitole travailleraient en différé. Il aurait été intéressant de montrer la prise de la capitale complètement dénuée d'intérêt militaire.

le passage duvportail temporelle juge les gens apolitique je crois

Très interessant!

J'ai beaucoup aimé ton analyse que je rejoins jusqu'à un certain point : Oui, c'est une critique des reporters photo. Oui, c'est une critique de l'image. Et surtout, oui, c'est une critique de la guerre. Et si, je pense que ce message est audible. Et le choix de reporters photo permet de comprendre ce message. Car malgré toutes les critiques adressées à ce métier, il y a aussi beaucoup d'empathie, notamment envers le personnage de Kirsten Dunst. Toute sa vie, elle a documenté les pires atrocités en espérant contribuer à y mettre fin. Pendant tout le film, le spectateur est lui-même confronté à ces atrocités. Il voit comment ces images peuvent développer un choc post-traumatique et il comprend pourquoi ce choc post-traumatique s'empare parfois des personnages. Des gens s'exposent volontairement à ces atrocités, dégradent leur santé mentale, pour prévenir des guerres. Et pourtant, d'autres gens restent fatalistes et continuent de penser que des guerres civiles sont inéluctables. D'autres pensent mêmes qu'elles sont désirables. Je pense que ce film est une tentative de documenter une guerre civile "pour de faux" en espérant qu'elle ne soit jamais documentée "pour de vraie".

Je pense que tu as raison sur l'étrange et l'absurde mais je crois que tu te trompes sur le sens politique du film. A mon sens le film est très réussit et n'est pas si neutre que cela, malgré une mise en scène qui se garde de désigner un camp ou une position du bien ou du mal. Le film ne cesse d'essemer cependant des indices sur ce qui a pu mener a de tels évènements. Il est effectivement déceptif puisqu'il arrive (et ses journalistes aussi) trop tard, tant les évènements paraissent avoir toujours déjà basculé dans un quotidien de violence incontrôlable. Mais il montre bien par effets de miroirs ou de juxtaposition, la vertigineuse proximité de notre réalité avec celle du film! C'est l'image même de cette Amérique blanche, des pavillons de banlieue, des campagnes vertes, des golfs et des bulles de divertissement, qui se heurte a l'image de la guerre qui l'envahit littéralement. Le film fonctionne comme avant gout du "trop tard", de quand ce sera vraiment foiré. Foiré pour quoi exactement ? pas pour les US pas pour l'occident: pour la démocratie. Ou autrement dit une certaine capacité d'écoute, de dialogue, de tolérance, de reconnaissance de l'autre. un journalisme sain, une vie politique saine. Le film expose les risques d'une dégradation et d'une polarisation extrême du débat politique. Garland a expliqué s'être inquiété de l'avenir des puissances occidentales jouant avec le feu, les politiques décrédibilisant les journalistes, et le journalisme manquant d'indépendance politique. Il évoque également la propagations de fake news de toutes sources confondues comme des atteintes a la valeur qu'on donne a la vérité. Celle la même en tant de que valeur partagée, ou prétendument partagée. Le film est réussit parce qu'il nous dit que la valeur de la vérité c'est de nous tenir ensemble. Sinon, bah c'est la guerre civile ici l'intw assez bavarde de Garland qui m'a amené a cette réflexion : ruclips.net/video/GcdDl-hldGM/видео.html

Je voulais juste écouter un morceau pour garder l’épisode pour l’écouter plus tard mais c’était tellement passionnant de t’écouter analyser ce film que j’ai adoré, que j’ai tout écouté jusqu’à la fin, toujours aussi bien donc haha

Arriver à un tel niveau d’analyse sur RUclips, je crois que c’est du jamais vu. Merci infiniment. Tu me fais aimer le cinéma, comme jamais

Hyper pertinent as usual ! 👍

J'aime beaucoup ta manière de décortiquer, propos pertinent et un bonhomme sympathique, +1 :)

Je trouve que tu parle un peu beaucoup avant de rentré dans le vif du sujet. Mais t'as quelque chose dans ta voix qui ma fait rester jusqu'à la fin 😂

C'est fou, j'ai découvert la chaîne avec la critique sur Donni Darko, l'analyse est passionnante !

Vidéo extrêmement intéressante Dex, continue ainsi 😁😉

Isabelle Huppert est-elle ok pour jouer dans ton film de Noël?

Mais où sont tes cheveux ?!

Félicitations! J’ai hate de voir ton prochain film et je te remercie de continuer à faire des vidéos qui sont un vrai regal 👍

Ça fait plaisir de te revoir ✌🏻